Et maintenant, place à la pratique. À Marseille, Lyon, Strasbourg ou Bordeaux, les nouveaux maires écologistes ne cachent pas leurs priorités : davantage d’espaces pour les piétons et les cyclistes, moins de béton et de « grands projets inutiles », des plans massifs de rénovation… Idem dans d’autres communes où ils occupent des postes importants dans les exécutifs locaux comme Paris ou Nantes. Les élections municipales de 2020 ont fait bouger les lignes et pourraient creuser un fossé entre ces grandes villes et des collectivités de taille plus modeste restées aux mains des partis traditionnels. Malgré quelques succès d’estime des écologistes à Poitiers, Annecy ou Besançon.
- Ce que mijotent les futurs maires écolos
Publicité et espace urbain
La tendance n’est pas propre à la Franc ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Techni.Cités